Une rencontre avec Magali Clareton-Pérotin directrice du département édition intégration de l'Amue, Georges Vayrou, agent comptable de l'université paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre du Bureau de l'association des ACU, et Bernard Contal, secrétaire général de l'université de Poitiers et 1er vice président de l'Association des secrétaires généraux d'université.

 

Magali Clareton Pérotin* vous avez rassemblé les établissements utilisateurs d'Astre, le logiciel de gestion de la Paie, pour faire le point sur son utilisation, quelles conclusions tirez-vous de ce séminaire ?

Le bilan est satisfaisant. En effet, organisé en lien avec les associations des secrétaires généraux et des agents comptables le séminaire du 2 juillet dernier a largement rassemblé, 68 personnes étaient présentes,  alors que la période n'était pas des plus propices.
Cette réunion à permis de  partager l'analyse de l'enquête réalisée auprès des utilisateurs de Astre, de faire le bilan des points de faiblesse et des aspects positifs du logiciel, et d'avoir une lecture commune des chantiers à venir.
Différents points d'amélioration d'Astre ont été identifiés par les participants en présence de l'éditeur GFI ; des besoins  tant sur l'assistance que la formation ont été mis en exergue.
Sur chacun de ces points, des réponses doivent être progressivement apportées :
-  par GFI dans le cadre de la maintenance, de l'évolution du produit et sur l'assistance,
- par l'Agence, pour les aspects relatifs à la formation notamment, tant métier que technico-fonctionnelle.

Enfin, la nécessité de poursuive le chantier "Paramétrage" a été confirmée ; initié par l'Agence avec la contribution de quelques universités, ce chantier a pour but d'améliorer et fiabiliser les paramétrages réalisés au niveau des établissements.

* Magali Clareton Pérotin est directrice du département édition intégration de l'Amue

 
Georges Vayrou**, vous avez participé à l'organisation du séminaire Astre quel a été, pour vous, le sujet émergent de cette réunion et sur quel autre êtes vous le plus en attente ?

Ce qui émerge d’abord de ce séminaire est qu’il correspondait, me semble t il a une attente essentielle pour deux séries de raisons :
- D’une part que 39 établissements aient répondu, 37 aient participé (soit la moitié des implantations), malgré la période choisie et la multiplication des sollicitations en ce moment est en soi révélateur du besoin d’informations et d’échanges.
- D’autre part que les réponses apportées portent souvent le qualificatif de « contournement » démontre la réalité des problèmes rencontrés puisqu’il faut les « contourner ».

Nos attentes, c’est l’avenir : des engagements ont été pris, des échéances données, aussi bien par GFI que par l’Agence, dans les domaines du produit, de l’assistance, de la formation (en particulier une formation « métier » dont nous nous félicitons) : nous espérons qu’engagements et échéances seront tenus, pour conserver notre jugement plutôt positif sur ce séminaire.
Dans le domaine de la formation des équipes et des méthodes de travail, les établissements doivent aussi faire des efforts.
Chacun des partenaires en présence doit donc œuvrer à ne pas rater ce nouveau départ car c’est un lieu commun que d’affirmer que la GRH dans toutes ses dimensions, va constituer un enjeu essentiel des prochaines années – avec ou sans ASTRE.

** Georges Vayrou est agent comptable de l'université paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre du Bureau de l'association des ACU

 
Bernard Contal, vous avez participé à l’organisation du séminaire ASTRE, quel a été, pour vous, le sujet émergent de cette réunion et sur quel autre êtes vous le plus en attente ?

Cette journée de mise au point sur l’application ASTRE était attendue depuis un certain temps ; elle a eu lieu, c’est un point positif. De l’ensemble des retours des questionnaires, et des réponses apportées tant par l’AMUE que GFI ou les utilisateurs « experts », il ressort assez clairement que les principales difficultés relevées concerneraient plus l’aspect budgétaire que l’aspect paie proprement dit. Pour confirmer cette assertion, je pense qu’il est urgent de procéder à l’analyse des questions posées à la maintenance GFI par les 13 établissements qui totalisent la moitié des appels au service de maintenance ou de les interroger directement. Cette vérification effectuée, s’il s’avère bien que les deux fonctions ne peuvent cohabiter ou plus explicitement être traitées dans le même temps, il y aura tout lieu bien évidemment d’en tirer les conséquences et notamment de ne pas reproduire le défaut en cause lors de l’interfaçage d’ASTRE avec SIFAC. A ce sujet, une réponse est apportée par l’AMUE.

*** Bernard Contal est secrétaire général de l'université de Poitiers et 1er vice président de l'Association des secrétaires généraux d'université

 

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