Dernière modification 29/03/2019
Les points essentiels.
+ Comme déjà indiqué lors du précédent comité, les représentants de la communauté Sifac s’accordent sur l’orientation qui consiste à poursuivre avec SAP. Une étude d’impacts sur le passage à S4/Hana est en cours pour préciser les contours et le dimensionnement de ce projet. La décision finale concernant cette orientation sera prise par les instances décisionnaires de l’agence.
+ Place des marchés : le Copil donne son accord pour que cette modernisation du flux achat soit traitée dans la transformation Sifac S/4.
L’expérimentation se poursuit. (voir notre article du 31 octobre). Les établissements pilotes confirment la richesse de l’outil notamment en termes d’audit. Il ne s’avère pourtant pas directement exploitable sans un important effort d’analyse. Bilan dans 3 mois.
Un sujet émerge dans la communauté : le besoin d’accompagnement sur le contrôle interne.
Ce chantier reste en attente de retour du MESRI. Un POC est toutefois en cours pour mesurer la capacité du standard SAP à répondre au CAD.
+ Factures de vente : en cours de test à l’université de Lorraine sur un flux complet avant déploiement sur plusieurs sites pilotes puis généralisation.
+ Déplacements professionnels : les interfaces avec Sifac sont en cours de développement. Un atelier dédié aux avancées sur ce sujet est proposé au Club U 2019 ainsi qu’une web-conférence dédiée en juillet.
+ Démat : 3 patchs sont attendus dans les prochaines semaines. Les déploiements continuent (vague 7 lancée en mars 2019).
Ce chantier lourd avance mais mobilise beaucoup d’énergie dans les établissements pilotes.
L’Amue va étudier l’intégration de l’add-on dans Sifac, et fera retour à un prochain Copil sur les coûts et les délais pour arbitrage et priorisation.
L’Amue étudie l’opportunité d’interfacer avec Sifac cet outil de paiement en ligne fourni par la DGFIP au regard du contexte réglementaire. Conclusions attendues au prochain comité de pilotage.
Ce sujet arbitré positivement par ce Copil sera proposé à l’arbitrage budgétaire 2020.